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mercredi 3 avril 2019

Préalable à la délivrance d'un agrément d'armurier



Outre les formalités administratives qu'il convient d'accomplir à divers niveaux en vue d'obtenir un agrément d'armurier, il est important de souligner que le candidat armurier devra réussir un examen d'aptitude professionnelle.


Ainsi, le candidat qui souhaite participer à l'examen d'aptitude professionnelle adresse un envoi postal recommandé ou un recommandé électronique au Service fédéral des armes, qui l'invite à l'examen suivant qui est organisé au cours du premier et du troisième trimestre de l'année. En cas d'un trop grand nombre d'inscriptions, un examen supplémentaire peut être organisé. Le candidat n'est pas autorisé à demander une autre date pour passer l'examen. La non-participation à un examen doit être justifiée au préalable ou dans les cinq jours ouvrables qui suivent le jour de l'examen au moyen d'une lettre dûment motivée envoyée au Service fédéral des armes. A défaut, l'absence équivaut à un échec qui sera communiqué au candidat qui sera exclu de la participation à un examen organisé dans un délai d'un an qui suit la date du procès verbal de l'examen auquel il était inscrit. La convocation à l'examen indique expressément ces règles.
  L'exclusion est notifiée à l'intéressé par lettre recommandée.

 En quoi consiste l'examen ?
  1° une épreuve écrite portant sur la connaissance de la réglementation à respecter et de la technique;
  2° une épreuve orale portant sur la connaissance de la déontologie professionnelle par la confrontation avec des situations pouvant se présenter lors de l'exercice de la profession, et de l'utilisation des armes.
  Les questions posées sont en rapport avec l'activité pour laquelle le candidat a demandé un agrément.
  Le jury corrige l'épreuve écrite et évalue l'épreuve orale.
  Pour réussir l'examen, le candidat doit obtenir un minimum de 14/20 à chacune des épreuves.


                                                               MD

mercredi 13 mai 2015

L'examen d'aptitude professionnelle à la profession d'armurier


Depuis l’entrée en vigueur de la loi sur les armes, le candidat « armurier » doit réussir un examen d’aptitude professionnelle s’il veut se voir délivrer un agrément d’armurier. (cfr article 2 de l’AR du 11 juin 2011 réglant le statut de l’armurier)

Pour participer à l'examen d'aptitude professionnelle, le candidat doit adresser un envoi postal recommandé ou un recommandé électronique au Service fédéral des armes, qui l'invite à l'examen suivant qui est organisé au cours du premier et du troisième trimestre de l'année. 

En cas d'un trop grand nombre d'inscriptions, un examen supplémentaire peut être organisé.

Le candidat n'est pas autorisé à demander une autre date pour passer l'examen.

La non-participation à un examen doit être justifiée au préalable ou dans les cinq jours ouvrables qui suivent le jour de l'examen au moyen d'une lettre dûment motivée envoyée au Service fédéral des armes. A défaut, l'absence équivaut à un échec qui sera communiqué au candidat qui sera exclu de la participation à un examen organisé dans un délai d'un an qui suit la date du procès-verbal de l'examen auquel il était inscrit. La convocation à l'examen indique expressément ces règles.
L'exclusion est notifiée à l'intéressé par lettre recommandée.

En quoi consiste l’examen ? (cfr article 3 de l’AR précité)
L'examen consiste en :
1° une épreuve écrite portant sur la connaissance de la réglementation à respecter et de la technique;
2° une épreuve orale portant sur la connaissance de la déontologie professionnelle par la confrontation avec des situations pouvant se présenter lors de l'exercice de la profession, et de l'utilisation des armes.

Les questions posées sont en rapport avec l'activité pour laquelle le candidat a demandé un agrément.
Le jury corrige l'épreuve écrite et évalue l'épreuve orale.
Pour réussir l'examen, le candidat doit obtenir un minimum de 14/20 à chacune des épreuves.


                                                                  MD

mercredi 27 août 2014

Examen d'aptitude professionnelle pour accéder à la profession d'armurier

Examen d'aptitude professionnelle pour accéder à la profession d’armurier


Pour pouvoir accéder à la formation d’armurier, la loi sur les armes dispose que le demandeur d'un agrément d'armurier ou d'intermédiaire doit prouver son aptitude professionnelle pour l'activité qu'il souhaite exercer.

Qu’en est-il exactement ?

L'aptitude professionnelle requise se rapporte à la connaissance de la réglementation à respecter et de la déontologie professionnelle, et de la technique et de l'utilisation des armes.

L'examen est organisé par le service fédéral des armes durant le premier et le troisième trimestre de l'année (ordinairement en mars et en septembre). En cas d'un trop grand nombre d'inscriptions, un examen supplémentaire peut être organisé.

L'examen consiste en :
- une épreuve écrite portant sur la connaissance de la réglementation à respecter et de la technique ;
- une épreuve orale portant sur la connaissance de la déontologie professionnelle par la confrontation avec des situations pouvant se présenter lors de l'exercice de la profession, et de l'utilisation des armes.

Les questions posées sont en rapport avec l'activité pour laquelle le candidat a demandé un agrément.

Un jury corrigera l'épreuve écrite et évaluera l'épreuve orale. Pour réussir l'examen, il faut obtenir un minimum de 14/20 à chacune des épreuves.

Le jury est composé :
-       d'un fonctionnaire du service fédéral des armes qui, le cas échéant, peut prendre soin de la traduction ;
-       du directeur du Banc d'épreuves ou de son délégué ;
-       d'un représentant du Registre central des Armes, ou à défaut, d'un fonctionnaire de police ayant des connaissances spécifiques sur les armes, désigné de commun accord par les autres membres du jury ;
-       d'un représentant francophone et d’un représentant néerlandophone proposé par des organisations professionnelles représentatives d'armuriers, désigné par le Ministre de la Justice. Leur présence dans le jury est précieuse pour leurs connaissances et expérience en la matière. Ils n'y siègent pas en tant que concurrents des candidats.

En cas d'échec, le candidat peut se réinscrire dans les trois mois à la session d'examen suivante.

Si le candidat a satisfait à une des deux épreuves, il est dispensé, lors de sa participation à la prochaine session d'examen, de l'épreuve à laquelle il a satisfait.

Le candidat souhaitant obtenir un agrément couvrant plusieurs aspects de la profession, mais ne parvenant pas à démontrer de connaissances suffisantes dans un domaine, obtiendra une attestation de réussite limitée aux domaines maîtrisés. Il aura l'opportunité d'étendre cette attestation à la prochaine session, en repassant un examen portant spécifiquement sur les aspects non maîtrisés.


                                                                                  MD